Covid-19 et levée des restrictions sanitaires : ce qui change ce mercredi 16 février

Nouvelle étape ce mercredi dans la levée progressive des restrictions sanitaires. Les discothèques, fermées depuis le 10 décembre, peuvent rouvrir, les concerts debout peuvent reprendre et il est à nouveau possible de consommer debout dans les bars, dans les stades, les cinémas et les transports.

Après avoir avoir mis un terme à l’obligation de porter le masque en extérieur, aux jauges dans les lieux recevant du public assis et au télétravail obligatoire le 2 février, le gouvernement franchit une nouvelle étape dans la levée des restrictions sanitaires ce mercredi. Plus de deux mois après leur fermeture, les discothèques peuvent rouvrir leurs portes dans le respect du protocole sanitaire. Les concerts debout sont à nouveau autorisés et il est à nouveau possible de consommer dans les stades, cinémas et transports, de même que debout dans les bars. Prochaine étape : le protocole en vigueur à l’école sera adapté à partir du 21 février.

Le protocole à l’école adapté à partir du 21 février

Jugeant la situation sanitaire de Covid-19 « en très nette amélioration », le gouvernement a annoncé vendredi un allègement du protocole dans les écoles. Les nouvelles règles s’appliqueront à partir de la rentrée des congés d’hiver, pour chaque zone de vacances.

Levée du port du masque dans les cours de récréation 

Parmi les mesures fortes annoncées par Jean-Michel Blanquer, la levée du port du masque dans les cours de récréation. En clair, le masque ne sera plus obligatoire en extérieur pour les élèves des écoles primaires et les personnels. Le port du masque reste néanmoins obligatoire à l’intérieur pour les personnels et les élèves de six ans et plus.

Dimanche, le ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer a indiqué que les enfants devraient « très vraisemblablement » pouvoir enlever le masque en intérieur à l’école « avant la fin de l’année scolaire », estimant « éminemment souhaitable » qu’ils puissent le retirer « le plus tôt possible ».

Fin des attestations sur l’honneur 

Les attestations sur l’honneur que remettent les familles après le premier autotest seront également supprimées à partir du 21 février.

Un seul autotest au lieu de trois pour les cas contacts

Le nombre d’autotests demandé pour les élèves cas contact va être ramené de trois à un seul à partir du 28 février. Concrètement, les élèves cas contacts ne devront plus faire qu’un seul autotest ou test antigénique au bout de deux jours (J2), au lieu de trois tests actuellement à J0, J2 et J4.

Prochaines étapes le 28 février

Fin du port du masque dans certains lieux clos

Le masque ne sera plus obligatoire dans les lieux clos (musées, cinémas, salles de sports, restaurants…) soumis au pass vaccinal à partir du 28 février, exception faite des transports (trains et avions compris).

Le port du masque n’est plus exigé en extérieur depuis le 2 février mais il reste préconisé en cas de regroupement de personnes avec une forte densité.

Dispositif de dépistage « allégé »

Autre changement entrant en vigueur le 28 février : le dispositif de dépistage des personnes ayant eu un contact avec une personne testée positive va être « allégé ». 

« Les personnes contacts n’auront plus à réaliser qu’un seul test (autotest ou test antigénique ou test RT-PCR) à J2 (soit deux jours après avoir eu l’information d’avoir été en contact avec une personne testée positive) au lieu de trois tests aujourd’hui (à J0, J2 et J4). Dans le cas d’un autotest positif, la personne devra faire un test antigénique ou un test RT-PCR de confirmation. Les règles d’isolement demeurent inchangées », a précisé le ministère.

SOURCE: https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/covid-19-et-levee-des-restrictions-sanitaires-ce-qui-change-ce-mercredi-16-fevrier-1644846451

Le protocole sanitaire de l’année scolaire 2021-2022

Quel sera le fonctionnement des écoles, collèges et lycées pour l’année scolaire 2021-2022 ? Réponse du ministère de l’Éducation nationale, en lien avec les autorités sanitaires.
Concilier impératifs sanitaires et scolaires. Pour l’année scolaire 2021-2022, le ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports entend maintenir une stratégie privilégiant l’enseignement en présence, pour la réussite et le bien-être des élèves, tout en limitant la circulation du virus au sein des écoles et établissements scolaires.

Afin de mettre en œuvre des mesures proportionnées, le ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports a établi pour la prochaine année scolaire, et en lien avec les autorités sanitaires, une graduation comportant quatre niveaux :     

  • niveau 1 / niveau vert ;   
  • niveau 2 / niveau jaune ;   
  • niveau 3 / niveau orange ;  
  • niveau 4 / niveau rouge.

Le passage d’une situation à une autre est arrêté en fonction du contexte sanitaire général apprécié par le territoire et au vu de l’avis des autorités de santé.

Les parents d’élèves jouent un rôle essentiel. Ils s’engagent à ne pas mettre leurs enfants à l’école, au collège ou au lycée en cas de fièvre (38 °C ou plus) ou en cas d’apparition de symptômes évoquant la COVID-19 chez l’élève ou dans sa famille.

De même, les élèves ayant été testés positivement au SARS-Cov2, ou dont un membre du foyer a été testé positivement, ou encore identifiés comme contact à risque, ne doivent pas se rendre dans l’école ou l’établissement scolaire (sauf exceptions prévues par les autorités sanitaires pour les contacts à risque). Ils en informent le directeur ou le responsable d’établissement.

Les personnels doivent s’appliquer les mêmes règles.

Protocole et fonctionnement

Doctrine d’accueil, activité physique, « contact tracing », mesures barrières, brassage des élèves… Retrouvez dans le tableau ci-dessous le protocole sanitaire adapté à chaque niveau : 

Année scolaire 2021-2022 : protocole et fonctionnement
Ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports

Source: https://www.education.gouv.fr/annee-scolaire-2021-2022-protocole-sanitaire-et-mesures-de-fonctionnement-324257

Protocole sanitaire au travail : quelles évolutions depuis le 9 août ?

Afin de limiter le risque d’exposition des salariés au Covid-19, et en raison de la forte circulation du variant Delta sur tout le territoire, le protocole sanitaire en entreprise a été actualisé le 9 août 2021 par le ministère du Travail. Une actualisation qui s’inscrit dans le cadre de la loi du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire. Quelles sont les nouvelles mesures concernant les obligations liées au passe sanitaire, à la vaccination, et la situation des personnes vulnérables ? Des précisions avec Service-Public.fr.

La nouvelle version du protocole sanitaire par rapport à la dernière version du 30 juin 2021 porte sur :

  1. La vaccination. Les employeurs doivent favoriser la vaccination de leurs salariés en les autorisant à s’absenter pendant les heures de travail . Les absences pour les salariés et les stagiaires n’entraînent pas une baisse de la rémunération et sont assimilées à du temps de travail effectif. Bien que l’absence pour se faire vacciner ne soit pas limitée dans le temps, la durée de cette absence doit être raisonnable au regard du temps de déplacement nécessaire. L’autorisation d’absence peut être accordée au salarié qui souhaite accompagner un mineur ou majeur protégé pour se faire vacciner. Les employeurs peuvent demander au salarié, la confirmation du rendez-vous de vaccination ou un justificatif de la réalisation de la vaccination.
    Le protocole rappelle l’obligation vaccinale pour les soignants et les travailleurs des établissements et services sanitaires et médico‑sociaux qui est mise en place en 2 temps, d’ici au 15 octobre 2021. Les employeurs doivent contrôler le respect de cette obligation. Les personnes ayant des contre-indications médicales doivent présenter un certificat médical.
    Pour mémoire, les salariés de 18 ans et plus peuvent être vaccinés par les médecins du travail .
  2. Le passe sanitaire. À compter du 30 août 2021, les personnes (salariés, bénévoles, prestataires, intérimaires et sous-traitants) qui interviennent dans certains lieux, établissements, services ou événements devront présenter le passe sanitaire, c’est-à-dire, soit le résultat d’un examen de dépistage RT-PCR, un test antigénique ou un autotest réalisé sous la supervision d’un professionnel de santé de moins de 72h maximum, soit un justificatif de statut vaccinal ou un certificat de rétablissement à la suite d’une contamination par le Covid-19. Certains salariés et autres professionnels ne seront pas soumis au passe sanitaire si leur activité se déroule dans des espaces non accessibles au public ou hors des horaires d’ouverture au public ou en cas d’interventions urgentes ou pour les activités de livraison. Les employeurs devront contrôler le respect de cette obligation, sur la base d’un justificatif présenté par le salarié. Lorsqu’un salarié concerné par le passe sanitaire ne présente pas les justificatifs, il peut, avec l’accord de l’employeur prendre des jours de congés ou de RTT.
    Le protocole rappelle les modalités d’organisation de l’entretien de régularisation qui doit avoir lieu avec le salarié qui ne présente pas un passe sanitaire, et qui voit alors son contrat de travail suspendu. L’entretien doit avoir lieu à l’issue du 3e jour suivant la suspension afin d’examiner les moyens de régulariser la situation, par exemple, proposer une affectation sur un autre poste ou travailler à distance lorsque c’est possible.
    Les professionnels intervenant dans ces lieux et événements qui devront présenter le passe sanitaire ne seront plus tenus de porter le masque. En revanche, le port du masque peut être rendu obligatoire par le préfet, ainsi que par l’exploitant ou l’organisateur.
  3. Des mesures renforcées pour les salariés vulnérables. Jusqu’à présent, les salariés vulnérables étaient maintenus en télétravail autant que possible. Selon le nouveau protocole, ils pourront désormais revenir en présentiel, et bénéficier de mesures de protections renforcées :
    • l’isolement du poste de travail, notamment par la mise à disposition d’un bureau individuel ou, à défaut, son aménagement, pour limiter au maximum le risque d’exposition, en particulier par l’adaptation des horaires ou la mise en place de protections matérielles ;
    • le respect à l’occasion de son activité professionnelle, de gestes barrières renforcés (hygiène des mains renforcée, port systématique d’un masque de type chirurgical lorsque la distanciation physique ne peut être respectée ou en milieu clos, avec un changement au moins toutes les quatre heures ou s’il est mouillé ou humide) ;
    • l’absence ou la limitation du partage du poste de travail ;
    • le nettoyage et la désinfection du poste de travail et des surfaces touchés au moins en début et en fin de poste, en particulier lorsque ce poste est partagé ;
    • une adaptation des horaires d’arrivée et de départ et des éventuels autres déplacements professionnels, compte tenu des moyens de transport utilisés par la personne, afin d’y éviter les heures d’affluence ;
    • la mise à disposition par l’employeur de masques de type chirurgical en nombre suffisant pour couvrir les trajets entre le domicile et le lieu de travail lorsque la personne recourt à des moyens de transport collectifs.

    À compter du 15 septembre 2021, les salariés particulièrement à risque lorsque le télétravail n’est pas envisageable, pourront être en activité partielle ou percevoir des indemnités journalières dérogatoires, s’ils remplissent l’une des conditions suivantes :
    • justifier d’un critère de vulnérabilité au Covid-19 figurant dans la liste de l’avis du HCSP du 29 octobre 2020 (hors cas des immunodépressions sévères) et être dans l’une des 2 situations suivantes :
      • être affecté à un poste susceptible d’exposition à de fortes densités virales (par exemple, dans les services hospitaliers de 1re ligne ou des secteurs Covid-19) ;
      • justifier d’une contre-indication à la vaccination.
    • être sévèrement immunodéprimé devant recevoir une 3e dose vaccinale au sens de l’avis du 6 avril 2021 du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale .

    Les salariés concernés doivent demander à bénéficier d’un certificat d’isolement afin d’être mis en activité partielle. Ce certificat peut être établi par le médecin traitant, de ville ou du travail. Un nouveau justificatif est nécessaire pour ceux ayant déjà eu un certificat d’isolement entre mai 2020 et août 2021.
    Les salariés vulnérables concernées pourront bénéficier des indemnités versées au titre de l’activité partielle jusqu’au 31 décembre 2021.
  4. Les moments de convivialité. Le protocole maintient la possibilité d’organiser des moments de convivialité dans le respect des gestes de barrières (port du masque, mesures d’aération et ventilation, et les règles de distanciation). Il est fortement recommandé que ces moments se tiennent à l’extérieur.

Les réunions en audio ou en visioconférence restent à privilégier. En cas de réunion en présentiel, les salariés doivent respecter les gestes barrières (notamment le port du masque), les mesures d’aération et de ventilation des locaux.

  A savoir : Dans le cadre de l’extension du passe sanitaire et de l’obligation vaccinale, le ministère du Travail met en ligne deux documents afin de répondre aux interrogations des employeurs et des salariés : un questions-réponses relatif à l’obligation de vaccination ou de détenir un passe sanitaire pour certaines professions ainsi qu’une brochure, Employeurs et salariés : je me vaccine. Retrouvez toutes les informations sur travail-emploi.gouv.fr

  Rappel : Le respect des règles d’hygiène et de distanciation physique. L’ensemble des règles d’hygiène et de distanciation physique doivent toujours être appliquées.

Le socle des règles sur la mise à disposition d’autotests par les entreprises, la vaccination des salariés et des employeurs, les mesures d’aération et ventilation des lieux de travail et le port du masque grand public de catégorie 1 ou de type chirurgical reste en vigueur.

L’employeur doit informer le salarié de l’existence de l’application TousAntiCovid et de l’intérêt de son activation pendant les horaires de travail.

Dans la fonction publique

Une circulaire du 10 août 2021 présente les dispositifs de passe sanitaire et d’obligation de vaccination applicables aux agents publics .

Les agents de la fonction publique bénéficient d’autorisations d’absence pour se faire vacciner .

Pour mémoire, une circulaire du 26 mai 2021 a précisé les conditions d’un retour progressif sur le lieu de travail. Depuis 1er juillet 2021, il est prévu 2 jours de télétravail par semaine.

  A savoir : Le ministère de la Fonction publique propose un questions-réponses actualisé sur la prise en compte de l’épidémie dans la fonction publique d’État .

La Direction générale de la cohésion sociale (DGCS) du ministère des Solidarités et de la Santé a publié 2 documents qui précisent le périmètre du passe sanitaire dans les établissements de santé et les établissements et services sociaux et médico-sociaux : Mise en œuvre de l’obligation vaccinale et du « pass sanitaire » dans les établissements de santé, sociaux et médico-sociaux et Adaptation des mesures de protection dans les établissements et services accueillant des personnes âgées et des personnes en situation de handicap .

sources : https://www.service-public.fr/professionnels-entreprises/actualites/A15099?xtor=EPR-141

Ameli, attestation papier… Comment obtenir son pass sanitaire?

Tests de dépistage ou schéma vaccinal, format numérique ou papier, plusieurs options sont possibles pour récupérer le QR Code qui donnera accès aux cinémas, restaurants ou aux TGV.

CORONAVIRUS – Montrer patte blanche ou plutôt, montrer son pass sanitaire. Dès le 21 juillet et au cours du mois d’août, ce sésame deviendra indispensable dans les lieux culturels, puis dans les bars, les restaurants, les établissements de santé ou encore certains transports en commun. 

Mais encore faut-il savoir où récupérer son pass. Tests de dépistage ou schéma vaccinal, numérique ou papier, plusieurs options sont possibles pour récupérer la clé – ou plutôt le QR Code – pour un semblant de retour à une vie presque normale. À noter qu’une fois récupérés, tous les QR code peuvent être importés sur l’application Tous Anti Covid, soit en le prenant en photo ou directement depuis l’application, dans la rubrique “Mon Carnet” puis “Ajouter un certificat”.

https://images.midilibre.fr/api/v1/images/view/60928d033e454647e71af50a/hd/image.jpg?v=1

Pour l’attestation de vaccination

– En format papier: lors de l’injection de la première ou de la deuxième dose, le patient se voit remettre un document papier. Ce dernier précise le niveau de vaccination (une dose ou deux doses) et si le schéma vaccinal est complet. Il comporte un QR Code et peut-être présenté en guise de pass sanitaire. Toutefois, la vaccination n’est considérée comme effective que deux semaines après la dernière injection (1e ou 2e selon les cas).

– En format papier: demander à un médecin. “N’importe quel professionnel de santé pourra retrouver une attestation de vaccination et l’imprimer si une personne le demande”, précise le site de l’Assurance maladie.

 – En format numérique: sur “le portail patient” du site de l’Assurance Maladie (https://attestation-vaccin.ameli.fr/) en s’identifiant sur FranceConnect grâce à son numéro fiscal, ses identifiants Ameli ou son compte msa.fr. 

Coronavirus : quand, où et comment se faire dépister ? | Dossier Familial

Pour le dépistage

– En format papier: le résultat du test peut être communiqué au patient en version papier par le professionnel qui l’a pratiqué.

– En format numérique via Si-DEP: en cliquant sur le lien reçu par SMS une fois le test effectué. Il faut ensuite préciser sa date de naissance, puis inscrire le mot de passe reçu par SMS. Il est ensuite possible de télécharger le résultat du test en format PDF sur mobile ou de l’importer directement dans TousAntiCovid. Si la manipulation a été faite depuis un ordinateur, il est possible de prendre en photo le QR code pour l’avoir sous la main dans son téléphone.

Pour le rétablissement du Covid

Le processus est le même que pour récupérer un test de dépistage, à la différence que le résultat sera donc positif. À noter que pour être valable, le test positif doit être daté de plus de 2 semaines et moins de 6 mois.

Source: https://www.huffingtonpost.fr/entry/ameli-attestation-papier-comment-obtenir-son-pass-sanitaire_fr_60ed7e7ae4b022142cf1d2c4

Rentrée scolaire, examens, contrôle aux frontières : de nouvelles mesures annoncées

Dès lundi 26 avril 2021, les élèves des écoles maternelles et élémentaires ainsi que leurs enseignants regagneront leurs classes. Les collégiens et lycées reprendront leurs cours à distance. Le protocole sanitaire déjà en place est soutenu par une accélération du dépistage. Les épreuves du brevet et du bac seront maintenues en présentiel. Par ailleurs, les déplacements seront bientôt à nouveau autorisés sans restrictions mais les contrôles aux frontières sont renforcées. C’est ce qu’a annoncé le Premier ministre Jean Castex lors de sa conférence de presse du 22 avril 2021.

Un protocole sanitaire strict maintenu dans les écoles et les établissements

Reprise des cours

Le 26 avril 2021, tous les élèves des écoles élémentaires et maternelles reprendront les cours en présentiel. Les collégiens et lycéens reprendront leurs cours à distance.

Le 3 mai 2021, les collégiens et lycéens regagneront leurs établissements selon ces modalités :

  • les lycéens reprendront les cours en demi-jauge ;
  • les collégiens reprendront les cours en présentiel. Toutefois, les classes de 4e et 3e des 15 départements les plus touchés par l’épidémie reprendront les cours en demi-jauge. Il s’agit des départements suivants : l’Aisne, les Bouches-du-Rhône, l’Essonne, les Hauts-de-Seine, la Loire, le Nord, l’Oise, Paris, le Rhône, la Sarthe, la Seine-et-Marne, la Seine-Saint-Denis, le Val-d’Oise, le Val-de-Marne et les Yvelines.
  • les élèves des conservatoires inscrits dans les classes à horaires aménagés quel que soit le cycle, les élèves en 3e cycle et en cycle de préparation à l’enseignement supérieur reprendront leurs cours au sein de leur établissement.

Le protocole sanitaire déjà en place est maintenu :

  • fermeture d’une classe dès qu’il y a un cas positif ;
  • port du masque chirurgical ou grand public de catégorie 1 pour les adultes et les élèves de plus de 6 ans ;
  • renforcement des gestes barrière : lavage des mains régulier, limitation du brassage ;
  • deux mètres de distance à la cantine entre les groupes d’élèves qui mangent avec leur classe ;
  • aération des pièces toutes les heures.

Les classes en plein air sont encouragées, tout comme les activités sportives en plein air.

Un dépistage renforcé

  • Chaque personnel travaillant dans les établissements et les écoles recevra prochainement deux autotests gratuits par semaine. À partir de la semaine du 10 mai 2021, les lycéens bénéficieront d’un autotest par semaine.
  • 400 000 tests salivaires par semaine seront déployés dans les écoles avec un objectif de 600 000 d’ici la fin mai. Ce dispositif de dépistage sera concentré dans les départements où le taux d’incidence est le plus élevé.

Les épreuves du brevet, du bac et des BTS maintenues en présentiel

Les épreuves du brevet sont maintenues.

Les écrits de philosophie et l’épreuve du grand oral pour les terminales sont maintenus en juin.

Les épreuves de BTS prévues au mois de mai auront lieu. Une session de rattrapage est prévue au début du mois de juillet.

Les restrictions de circulation assouplies à compter du 3 mai

À compter du 3 mai 2021, les restrictions de déplacement en journée, en vigueur depuis le début du mois sur l’ensemble du territoire, seront levées. Il sera donc possible de se déplacer librement à plus de 10 km de son domicile. Le couvre-feu sera maintenu.

  A noter : Le week-end de retour des vacances, les 24 et 25 avril 2021, fera, comme celui des départs, l’objet d’une tolérance concernant les déplacements à condition de se munir des justificatifs nécessaires.

Un nouveau protocole aux frontières

Depuis le début janvier, seuls les ressortissants européens et ceux qui justifient d’un motif impérieux et d’un test PCR de moins de 36h peuvent venir en France. A partir de samedi 24  avril 2021, une quarantaine de dix jours sera obligatoire pour toutes les personnes arrivant de Guyane, du Brésil, d’Argentine, du Chili, d’Afrique du Sud et d’Inde. La liste de ces pays pourrait être complétée prochainement.

sources : https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A14844?xtor=EPR-141

covid 19 – Moteur de recherche d’un créneau de vaccination

Qu’est-ce que Vite Ma Dose ?

Vite Ma Dose est un outil de CovidTracker permettant de détecter les rendez-vous de vaccination contre la Covid-19. Vite Ma Dose propose des rendez-vous disponibles dans votre département afin de vous faire vacciner (sous réserve d’éligibilité). Vite Ma Dose offre une solution rapide, simple et fiable pour trouver un rendez-vous de vaccination contre la Covid-19.


Quel est l’intérêt de Vite Ma Dose de Vaccin ?

Vite Ma Dose est une plateforme qui permet de trouver un rendez-vous de vaccination rapidement dans son département. Sont actuellement recensés les créneaux de vaccination des plateformes de santé Doctolib, Keldoc, Maiia, Ordoclic, MaPharma. La réservation d’un créneau d’injection de vaccin dans un centre de vaccination s’effectue via les pages de ces plateformes de santé.

accéder au Wiki – Réseaux-Télécoms

Comment fonctionne Vite Ma Dose ?

Les algorithmes de Vite Ma Dose analysent les différentes plateformes de réservation de rendez-vous de vaccination afin de détecter les créneaux disponibles. Vite Ma Dose permet donc d’agréger ces rendez-vous de vaccination disponibles vous permettant de trouver une dose de vaccin contre le coronavirus plus rapidement.


Vite Ma Dose est-il à but lucratif ?

Non, Vite Ma Dose n’est pas à but lucratif. La plateforme est gratuite, sans pub et il n’est pas nécessaire de s’inscrire pour l’utiliser. Le code informatique est disponible en Open Source sur internet.

En savoir plus sur la vaccination contre la Covid 19

Qui peut se faire vacciner contre la Covid-19 ?

De nombreuses personnes sont éligibles à la vaccination contre la covid-19. On peut être éligible à la vaccination selon son âge, sa santé, ou sa profession. Voici la liste des personnes qui peuvent dès à présent être vaccinées :

  • les personnes de 70 ans et plus quel que soit leur lieu de résidence ;
  • les résidents en établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), en unités de soins de longue durée (USLD) ou hébergées en résidences autonomie et résidences services ;
  • Les adultes qui souffrent d’une pathologie considérée comme à très haut risque de développer une forme grave de la Covid-19 ;
  • les personnes (sans critère d’âge) en situation de handicap hébergées en maisons d’accueil spécialisées (MAS) ou en foyers d’accueil médicalisés (FAM) ;
  • les femmes enceintes à partir du deuxième trimestre de la grossesse ;
  • les personnes de 50 à 69 ans inclus souffrant d’au moins une comorbidité ;
  • les résidents de 60 ans et plus dans les foyers de travailleurs migrants (FTM) ;
  • toutes les personnes de 55 à 74 ans avec les vaccins AstraZeneca et Janssen à partir depuis le lundi 12 avril.

Les professionnels de santé et du secteur médico-social sont également éligibles à la vaccination contre la covid-19.

accéder au Wiki – Réseaux-Télécoms

Où se faire vacciner ?

Si on est éligible, on peut être vacciné chez son médecin généraliste, dans un centre de vaccination, à la pharmacie ou dans tout établissement de santé ou médico-social proposant la vaccination contre la covid-19. L’ensemble des centres de vaccination sont à retrouver sur Vite Ma Dose.


Comment réserver un rendez-vous de vaccination ?

On peut se faire vacciner contre le coronavirus en réservant un rendez-vous grâce à Vite Ma Dose. On peut aussi prendre rendez-vous directement via les plateformes Doctolib, Maiia, MaPharma, ou Keldoc, ainsi que chez son médecin généraliste ou en pharmacie.


Pourquoi se faire vacciner ?

Le vaccin contre le covid-19 protège des formes graves de la maladie. Il semble aussi limiter les contaminations.

accéder au Wiki – Réseaux-Télécoms

Quels sont les différents types de vaccins contre le coronavirus ?

Il existe plusieurs types de vaccins contre le coronavirus. En France, les vaccins Moderna, Pfizer-BioNTech et AstraZeneca sont autorisés et utilisés. Le vaccin Janssen / Johnson et Johnson sera très bientôt utilisé.


Mesure d’audience : afin de vérifier le bon fonctionnement de notre site internet, nous effectuons une mesure anonymisée de l’utilisation du site. A l’exception de ces données de navigation, nous ne partageons aucune donnée collectée avec d’autres entreprises. Vite Ma Dose ne collecte aucune données personnelles.


Vite Ma Dose n’est pas un outil officiel, n’est pas exhaustif et ne remplace pas une recherche manuelle notamment dans le cas où aucun créneau de vaccination disponible n’est proposé sur notre site.

Source: ViteMaDose

Autotests : comment utiliser ces nouveaux outils de dépistage en vente en pharmacie ?

Depuis le 12 avril 2021, il est possible d’acheter en pharmacie des autotests antigéniques par prélèvement nasal pour dépister le Covid-19 selon l’avis favorable de la Haute Autorité de santé (HAS) du 16 mars 2021. Ces tests sont destinés aux personnes asymptomatiques de plus de 15 ans et qui ne sont pas cas contact. Ils peuvent être réalisés en totale autonomie du prélèvement à la lecture du résultat (à la manière d’un test de grossesse). Comment s’en servir ? Sont-ils remboursés ? Quel est leur prix de vente maximum ? Le point avec Service-Public.fr.

Le test RT-PCR nasopharyngé possède aujourd’hui les meilleures performances cliniques. Toutefois, le prélèvement étant invasif, il n’est pas adapté à toutes les situations, particulièrement lorsque le test doit être répété. Le test antigénique rapide est moins invasif et permet d’obtenir un résultat facile à lire en moins de 30 mn.

Ce test étant moins sensible que le test RT-PCR, il est utile de répéter l’autotest 1 à 2 fois par semaine pour augmenter les chances de détecter le virus au début de la maladie, c’est-à-dire au moment où le virus est le plus présent et le plus facilement détectable, et surtout au moment où on est le plus contagieux.

Comment s’en servir ?

L’autotest est un test nasal à réaliser soi-même, avec une longue tige surmontée d’un écouvillon.

Les différentes étapes à suivre sont :

  • se laver les mains avant de sortir les tests de l’emballage ;
  • enlever l’opercule du tube contenant la solution réactive ;
  • disposer le tube à l’emplacement prédécoupé de la boîte ;
  • sortir la cassette de sa poche ;
  • insérer l’écouvillon verticalement dans la narine sur 2 à 3 cm ;
  • basculer la tige vers le haut et l’introduire jusqu’à rencontrer une légère résistance ;
  • réaliser un mouvement de 5 rotations avant de le retirer ;
  • essorer l’écouvillon dans la solution durant 10 secondes ;
  • visser la tétine compte gouttes sur le tube, puis verser 4 gouttes de la solution dans le puits à cassette ;
  • patienter 10 à 15 minutes en fonction des tests pour lire le résultat.

Si une seule bande colorée apparaît dans la zone c, le résultat est négatif. En revanche, si deux bandes colorées apparaissent, le résultat est positif.

  A noter : Les tests ne sont pas destinés aux personnes contacts ou personnes symptomatiques qui doivent faire un test RT-PCR.

Que faire en fonction des résultats de l’autotest ?

En cas de résultat négatif à un autotest, vous devez continuer à maintenir les gestes barrières et la distanciation sociale. La fiabilité de l’autotest est limitée, il est donc toujours possible d’être porteur du virus dans des quantités non détectables, ou qu’une erreur liée au prélèvement fausse le résultat.

En cas de résultat positif à un autotest, vous devez sans tarder :

  • réaliser un test RT-PCR en laboratoire qui confirmera ou non le résultat ;
  • vous isoler immédiatement ;
  • prévenir les personnes avec qui vous avez été récemment été en contact en l’absence de gestes barrières pour qu’elles s’isolent.

Quelles sont les conditions de vente ?

La vente des tests est réglementée. Leur prix maximum est fixé à 6 €. À compter du 15 mai 2021 le prix de l’autotest ne pourra pas dépasser 5,20 €. Les autotests ne sont pas remboursés par l’Assurance maladie.

Sur présentation d’une pièce d’identité et d’un justificatif, les autotests sont délivrés gratuitement, dans la limite de 10 par mois, pour les professionnels relevant des catégories suivantes :

  • service d’aide et d’accompagnement à domicile (Saad) ;
  • intervenants mandataires, particuliers employeurs, salariés des services de soins infirmiers à domicile (Ssiad) ;
  • salariés de service pour personnes handicapées ;
  • accueillants familiaux accompagnant des personnes âgées ou en situation de handicap.

  A savoir : La vente des autotests est interdite sur internet et dans les supermarchés.

Textes de loi et références

sources : https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A14826?xtor=EPR-100